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Tout ce que vous devez savoir pour bien négocier une rupture conventionnelle

négocier une rupture conventionnelle

Négocier une rupture conventionnelle peut être un processus complexe et délicat si l’on ne dispose pas des bonnes informations et stratégies. Dans cet article et grâce aux conseils de Amélie Tizon, nous allons aborder les étapes clés pour parvenir à une négociation réussie, les erreurs à éviter et comment maximiser vos chances d’obtenir le meilleur accord possible.

Qu’est-ce qu’une rupture conventionnelle ?

Dans le monde du travail, la rupture conventionnelle est un dispositif légal de séparation à l’amiable entre un salarié et son employeur. Elle se distingue du licenciement ou de la démission en ce qu’elle résulte d’un accord mutuel entre les deux parties. La rupture conventionnelle permet au salarié de percevoir des indemnités de fin de contrat et préserve ses droits aux allocations chômage. De plus, elle prévient les éventuels litiges qui peuvent survenir lors d’une rupture de contrat classique.

Etapes clés pour négocier une rupture conventionnelle

Choisir le moment approprié

Avoir une bonne gestion du temps durant les négociations est primordial. Il est recommandé de choisir un moment où votre supérieur hiérarchique est disponible et disposé à discuter. Les périodes de mutations professionnelles, de renouvellement de contrats ou de bilans de compétences peuvent être particulièrement propices. Évitez les moments de tension au sein de l’entreprise et les périodes où votre supérieur hiérarchique est particulièrement solicité.

Préparer des arguments solides

Pour mener des négociations réussies, il est essentiel d’élaborer une argumentation claire et précise pour justifier la demande de rupture conventionnelle. Vous pouvez par exemple vous appuyer sur des raisons professionnelles (besoin de changement, envie d’évolution de carrière), personnelles (situation familiale, santé) ou encore pratiques (souhait de reconversion professionnelle). Veillez à présenter vos arguments de manière cohérente et honnête.

Mener des discussions informelles en amont

Avant d’aborder officiellement le sujet avec votre employeur, il est recommandé de mener des discussions informelles avec des collègues ou des responsables de l’entreprise. Ceci afin de sonder le terrain et d’obtenir quelques conseils utiles sur la meilleure manière de procéder. De plus, cela permet de créer un climat de confiance propice aux négociations.

Faire preuve de flexibilité durant les négociations

La souplesse durant les rencontres de concertation ou de négociation est primordiale. Les différentes parties doivent être prêtes à faire des compromis et à accepter les contreparties proposées par l’autre partie. Il est important de trouver un accord qui convient à toutes les parties.

Erreurs à éviter lors des négociations

Être trop précipité

Prendre le temps de bien mûrir votre projet et d’observer les différentes réactions de vos collègues et supérieurs hiérarchiques lors des échanges informels est essentiel pour éviter d’être pris au dépourvu durant les négociations. Il ne faut pas être trop pressé d’aborder de manière officielle ce sujet avec son employeur, car cela pourrait générer une certaine méfiance et nuire aux discussions.

Ignorer les enjeux financiers

Si obtenir une rupture conventionnelle représente pour vous un changement positif ou nécessaire, il faut tout de même ne pas négliger les aspects financiers. Vous devrez connaître les montants à percevoir comme indemnités de fin de contrat, ainsi que les droits liés aux allocations chômage. Une mauvaise gestion de cette aspect peut entraîner de lourdes conséquences sur votre situation financière personnelle.

Manquer de professionnalisme lors des échanges

Les négociations doivent se dérouler dans le respect mutuel et le sérieux. Évitez les petits jeux et les manipulations ou menaces inutiles. Le maintien du professionnalisme durant les discussions contribuera grandement à la réussite des négociations et permettra de préserver les relations entre les deux parties.

Maximiser vos chances : quelques astuces supplémentaires

Rédiger un email formel de demande

Une fois les discussions informelles effectuées et votre décision prise, rédigez un email professionnel et soigné adressé à votre employeur contenant votre demande de rupture conventionnelle. Cela ajoute à la crédibilité de votre demande et facilite le processus de négociation.

Se faire accompagner en cas de besoin

Si vous ne vous sentez pas à l’aise pour mener seul(e) les négociations, il est possible de faire appel à un représentant du personnel ou à un conseiller juridique. Ces personnes peuvent vous fournir leur expertise sur la manière dont vous devrez présenter vos arguments et aborder les questions financières. Elles peuvent également vous aider à mieux comprendre les documents juridiques qui seront refourchés pendant les négociations.

Rester calme et posé lors des rencontres avec votre employeur

Même si les négociations peuvent parfois s’avérer tendues, il est essentiel de garder son sang-froid et de rester courtois durant les rencontres face à l’employeur. L’écoute attentive de ses besoins et exigences, ainsi que votre persévérance dans la présentation de vos arguments de manière claire et structurée, constituera assurément un atout durant ces échanges.

Comment bien choisir votre détective privé ?

Comment bien choisir votre détective privé

Il est à savoir que le détective privé est un spécialiste en matière de filatures. À Lowell, beaucoup de personnes ont recours aux services de ce professionnel. Il y a 3 critères à considérer si vous voulez réussir votre choix de détective privé à Lowell. Il en est ainsi des compétences, de l’agrémentation et de l’implantation du détective privé. 

Choisir le détective privé à Lowell en fonction de ses compétences

Pour bien choisir votre detective privé, on vous recommande en premier lieu de prendre en considération les compétences du détective en question. Sans compétence en effet, le détective ne va pas vous servir. Il ne pourra vous aider dans les missions que vous allez lui imposer. 

Il faut trouver un détective compétent dans le domaine. C’est celui qui connait les bases du métier. Il devra avoir suivi des formations, avoir fait des études ou avoir de l’expérience professionnelle en la matière. Il est surtout compétent s’il a de la réputation et de la notoriété sur le marché des détectives privés. 

Il faut surtout trouver un détective compétent répondant à vos besoins. On parle ici des compétences spécifiques du détective. Vous pouvez choisir un détective privé qui est spécialisé dans une enquête familiale ou dans une enquête d’assurance. Il faut donc définir à l’avance vos besoins en matière de détective privé pour savoir la spécialité que le détective choisi devra avoir. 

Choisir le détective privé à Lowell en fonction de son agrémentation

En second lieu, on vous recommande de prendre en considération l’agrémentation du détective privé. Il est à savoir que le métier de détective privé est réglementé par le Code de la Sécurité Intérieure. Il faut donc que le détective soit agréé par l’État avant de pouvoir exercer sur le marché. 

Plus précisément, le détective doit être agréé par le CNAPS ou du Conseil National des Activités Privées de Sécurité. C’est un établissement public administratif sous tutelle du ministère de l’Intérieur. Il est responsable de l’accord et de l’autorisation à devenir détective privé. Il va délivrer les licences comme les autorisations d’exercer et d’agréments. Pour être détective, il faut détenir ces licences. 

Vous devez dans ce cas choisir le détective qui a son numéro d’autorisation d’exercice. Tous les documents commerciaux et officiels des agences de recherches privées doivent faire apparaitre ce numéro d’autorisation d’exercice. Quand vous allez choisir votre professionnel, n’oubliez surtout pas alors de demander au professionnel de vous monter son numéro d’agrément délivré par le CNAPS. Sinon, vous pouvez directement demander au CNAPS la validité de ces autorisations. 

Choisir le détective privé à Lowell en fonction de son implantation 

On vous recommande en dernier lieu de bien choisir votre détective privé en considérant son lieu d’implantation. C’est la région où le professionnel est implanté, c’est-à-dire là où il est disponible. 

Le mieux c’est de toujours choisir le détective implanté dans votre région ou celui implanté dans la région où l’enquête va se dérouler. Un professionnel de la région va en effet mieux connaitre le territoire. Il aura des connaissances plus grandes et plus profondes sur l’environnement, les spécificités locales et le tissu économique de la zone d’intervention. Le détective pourra dans ce cas faire les enquêtes plus facilement et plus efficacement. 

Ne choisissez surtout pas les détectives professionnels qui couvrent une grande zone géographique. Ces derniers pourront vous communiquer des fausses informations dans le but de vous soutirer de l’argent et d’attirer votre attention sur des choses qui n’existent même pas. Vous serez alors attiré à payer encore plus pour en savoir plus. 

Faites la différence avec les professionnels de droit privé qui vont cependant couvrir une vaste zone allant jusqu’à l’international. Ces professionnels maitrisent parfaitement bien des langues étrangères. Ces professionnels ont aussi beaucoup d’expériences en dehors des frontières. 

En considérant l’implantation, vous trouverez certainement le bon détective privé. 

Droit routier : ce qu’il faut savoir en tant qu’usager de la voie publique

Droit routier _ ce qu’il faut savoir en tant qu’usager de la voie publique

Être conducteur ne signifie pas que l’on connaît le droit routier par cœur. Par contre, la maîtrise du Code de la route est une obligation. D’ailleurs, celui-ci faisant partie du droit routier. Le fait de le connaître apporte des avantages conséquents en cas de problème. Sinon, il est judicieux de recourir à un avocat spécialisé en cas de besoin.

Mieux comprendre le droit routier

Le droit routier rassemble toutes les règles à respecter pour ceux qui utilisent la voie publique. Ce qui signifie que les piétons comme les conducteurs en sont concernés. Pour cela, les usagers de la route doivent connaître la signification des panneaux de signalisation. Ainsi que les marquages au sol. Cela implique également d’être au courant des sanctions et des pénalisations que peut entraîner le non-respect de ces règles. L’application du droit routier tient compte de ce code de la route. En cas d’infraction sur la voie publique, par exemple, l’usager peut subir une contravention. Aussi, si on est à l’origine d’un délit routier, on risque de se retrouver devant un tribunal. En tout cas, les peines dépendent toujours de l’importance de l’infraction.

Parmi les infractions méritant une contravention, on peut citer les excès de vitesse. De même que le fait de téléphoner tout en conduisant ou de griller un feu rouge. Ce n’est pas seulement sur la route qu’on peut subir une contravention. Effectivement, lorsqu’on stationne sur une zone non autorisée, on risque aussi d’avoir des problèmes. Ce n’est pas seulement les codes de la route qui sont pris en compte dans le droit routier. Les délits entraînant des peines lourdes sont aussi concernés. C’est le cas, entre autres, des blessures involontaires, des homicides involontaires ou encore des conduites sous l’emprise d’alcool ou de stupéfiants. Quand on se retrouve dans ce genre de situation, il vaut mieux recourir au service d’un avocat spécialisé en droit routier.

Les raisons de faire appel à un avocat

Il y a plusieurs raisons qui peuvent pousser une personne à solliciter un avocat code de la route. C’est le cas, notamment, du retrait de permis. D’ailleurs, ce genre de problème est très fréquent. Il faut faire appel à un avocat dès que le permis est annulé ou suspendu. Ceci afin d’avoir plus de chance d’obtenir gain de cause. Les actions entreprises par l’avocat dépendent surtout de l’origine du litige. Pour cela, le professionnel doit entreprendre ses propres expertises. Un avocat en droit routier intervient également suite à des infractions routières, telles que l’excès de vitesse. Son intervention peut aider à alléger la peine au pénal. C’est aussi le cas si son véhicule est impliqué dans un accident de la route. On est aussi en droit de le faire si on est victime d’un délit routier. La perte de points sur le permis de conduire peut entraîner sa suspension. Pour ne pas en arriver là, il est possible de se faire accompagner par l’avocat afin de récupérer ses points. En tout cas, le fait de se rapprocher d’un spécialiste constitue toujours un avantage, quel que soit le domaine.

Comment résoudre un conflit conjugal ?

conflit conjugal

Les conflits sont le lot quotidien des couples. Les sources entraînant ces crises sont multiples. Les problèmes financiers, les carrières professionnelles ou l’éducation des enfants sont parmi les causes pouvant entraîner un conflit plus ou moins important au sein du couple. Décryptage.

Faire appel à un avocat expert en droit de la famille

Quand les conflits entre parents deviennent trop graves, elles conduisent généralement à la séparation. Suite à des violentes disputes ou autres problèmes plus intenses, le couple n’arrive plus à trouver un terrain d’entente. Dans ces conditions, la plupart des couples optent pour le divorce. Arrivé à ce stade, chacun des époux doit être représenté par un avocat. Ce spécialiste a comme principal rôle de porter assistance à son client en le représentant devant le juge. Le professionnel défend les intérêts de son client en matière d’autorité parentale, de la garde des enfants, de droit de visite, de partage des biens et de la pension alimentaire. En somme, il doit protéger son intégrité. Cet expert peut aussi être consulté dans le cadre de violences conjugales.

L’intervention d’un avocat spécialisé en droit de la famille est généralement revendiquée dans le cadre du divorce. Pour faire face aux problèmes familiaux ou litiges liés aux affaires familiales, il est conseillé de faire appel à un avocat famille Nimes. Ce genre de professionnel est le meilleur allié pour apporter du conseil à l’un des époux, c’est-à-dire lui apporter la meilleure défense tout au long de la procédure de divorce. Que ce soit pour un divorce à l’amiable ou judiciaire, son intervention est toujours essentielle. Pour bénéficier de l’aide d’un avocat expérimenté et compétent, il est conseillé de consulter un site spécialisé en ligne. Ainsi, il est possible d’avoir un maximum de renseignements sur un cabinet d’avocat spécialisé ou de prendre rendez-vous avec un expert.

Des conseils essentiels pour gérer des conflits dans un couple

Afin d’éviter de fragiliser le couple, il est important de ne pas laisser persister les situations négatives. En fait, les conflits peuvent déstabiliser une relation. Il est primordial de trouver une solution durable pour éviter que la situation ne se complique. Cela consiste à retrouver, pour le couple, une certaine stabilité, et en même temps, renforcer la complicité. Finalement, la flamme est ravivée. Autant que possible, il vaut mieux éviter d’empirer les choses et d’avoir des regrets. Il est indispensable de régler les conflits le plus rapidement possible pour qu’une relation puisse repartir sur de bonnes bases.

Mais avant de résoudre ces problématiques amoureuses, il est impératif de s’attaquer à la source tout en apportant des solutions. Effectivement, il est difficile de résoudre efficacement les conflits sans connaître l’origine du mal. Il devient d’autant plus impossible d’éliminer totalement les difficultés qui peuvent resurgir. Un élément anodin peut être une source de conflit et déclencher des disputes violentes entre les partenaires. L’incompréhension peut aussi être un élément déclencheur de conflits. Il est donc obligatoire d’essayer de cerner et de prévenir ce qui gêne l’autre ou ce qui est susceptible de l’ennuyer.

Le prélèvement à la source, une mesure gagnant-gagnant

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Définition du prélèvement à la source

Le prélèvement à la source est une déduction de l’impôt sur le revenu, faite mensuellement sur le salaire ou la pension de retraite. Entré en vigueur depuis le 1er janvier 2018, ce mécanisme s’applique sur toutes les rémunérations du contribuable perçues au titre de l’année en cours. 

Dans cet article, nous vous proposons une présentation de ce mécanisme fiscal afin de vous aider à mieux comprendre ses modalités et comment le prélèvement est réalisé sur vos salaires. 

Le prélèvement à la source : introduction de base

Comme nous l’avons expliqué, le prélèvement à la source est le montant de l’impôt sur le revenu de chaque contribuable français. Depuis le 1er janvier 2018, ce prélèvement est effectué à la source, c’est-à-dire directement sur les salaires des salariés, les pensions des retraités et les allocations chômage des chômeurs. Le montant de cette déduction dépendra du total des revenus du contribuable perçus et déclarés l’année précédente. Par toutes les rémunérations, on entend dire les salaires, les revenus fonciers, les pensions, etc. Une fois le montant est connu, l’Etat le prélève directement sur ces revenus. 

Dans le cas où le salarié n’a jamais déclaré ses revenus pour l’année en cours, il subira la règle du « taux neutre ». En effet, depuis 2018, un taux d’imposition est attribué par l’administration fiscale à cette catégorie de salariés pour qu’ils s’acquittent à leur tour de leurs impôts. Ledit taux, que l’employeur doit le communiquer au salarié, se calcule sur la base du salaire. A ce stade, l’employeur procède au prélèvement à la source et reverse la somme à l’Etat.

Le Monde 
Comment fonctionne le prélèvement à la source ?

Comme pour plusieurs autres pays, la France fait recours au prélèvement à la source dans le cadre de sa stratégie de recouvrement de l’impôt. D’ailleurs, plus de la moitié des prélèvements obligatoires réalisés dans l’Hexagone sont prélevés à la source comme pour la CSG ou les cotisations sociales.

Les modalités du prélèvement à la source : quand et comment ?

Pour comprendre le prélèvement à la source, on doit prendre en considération deux dates, à savoir :

  • Le printemps 2018, durant lequel tout contribuable devait déclarer ses revenus de l’année précédente (2017) à l’administration fiscale. Cette dernière devait à son tour calculer un taux de prélèvement pour l’appliquer aux rémunérations déclarées. Ledit taux devait être mentionné sur l’avis d’impôt adressé au contribuable à l’été 2018. Ici, chaque salarié est libre de choisir ou non l’application du taux neutre. En revanche, les couples avaient la possibilité d’opter pour des taux différenciés. Une fois le calcul est fait, l’administration fiscale devait communiquer le taux de prélèvement retenu à la partie qui a versé les revenus du contribuable, en l’occurrence son employeur ou la caisse de retraite pour les retraités.
  • Depuis le 1er janvier 2019, le prélèvement à la source est devenu automatique et applicable directement au salaire. De ce fait, il apparait systématiquement sur la fiche de paie du salarié. En septembre 2019, ce taux devait être actualisé pour prendre en considération les changements de la déclaration des revenus de 2018. Du coup, ce taux sera utilisé à partir de septembre 2019 et sera actualisé au mois de septembre de chaque année au futur.  

Voici donc un schéma qui vous simplifiera la comparaison des différents changements entreprises entre 2017 et 2018 pour le calcul du prélèvement à la source : 

Peu importe la source de vos rémunérations (salarie, pension de retraite, revenus fonciers, etc.), votre impôt pourra s’adapter aux différents changements financiers que vous subissez. Le calcul du nouvel impôt s’effectue au moment même du changement et non l’année suivante. En effet, le système du prélèvement à la source permet d’étaler la déduction de l’impôt sur une période de 12 mois, de manière à calculer le montant de la déduction sur la rémunération de chaque mois. 

Les avantages du prélèvement à la source 

La mise en place du prélèvement à la source a permis un tas d’avantages au contribuable. En premier lieu, il a beaucoup simplifié la démarche étant donné que la déduction se fait directement sur le salaire. Le contribuable ne paye alors aucun montant supplémentaire sur ces revenus. Par ailleurs, il est possible de simuler une nouvelle situation à tout moment, et ce directement sur le site impots.gouv.fr

Pour l’Etat, ce système lui permet de faciliter le recouvrement de l’impôt dans la mesure où il est presque impossible au contribuable de s’échapper au paiement de ses dus. En facilitant la collecte de l’impôt, l’Etat améliore son rendement en matière de paiement des différentes aides sociales. 

Gestalt : comment trouver un avocat pour son litige ?

Il est assez difficile de choisir l’avocat qu’il faut pour nous aider à régler le litige dans lequel on se trouve. Ce choix est souvent mal fait, surtout lorsqu’on se trouve en état d’urgence. Bien trouver un avocat pour son litige nécessite du temps et de l’attention, car cela ne se fait pas à la légère. Voici les étapes à suivre.

Déterminer les litiges pour l’avocat

Il existe aujourd’hui de nombreux avocats qui proposent des services et des prestations aux personnes ayant des problèmes juridiques. Il en est ainsi de droit Justice. Ces avocats ont des offres diversifiées à proposer à ses clients. Les offres se distinguent selon les spécialités et les modes de fonctionnement de l’avocat. Il existe deux types d’avocats en fonction du litige qu’ils doivent entreprendre. On dispose les avocats généralistes quand le litige est simple. Ce sont en général des avocats appelés pour les besoins ponctuels. On dispose à côté les avocats spécialistes disposant des certificats de spécialisations. Ce sont des avocats à appeler quand le litige porte sur un domaine de compétence très particulier ou complexe. C’est pour cette raison que les personnes dans le besoin sont appelées à déterminer la nature de l’affaire qu’elles veulent confier à l’avocat. Les avocats possèdent également leurs propres modes de fonctionnement. Il y a ceux qui donnent uniquement des conseils juridiques tandis que d’autres proposent un accompagnement devant les tribunaux. Le choix de l’avocat va dépendre de vos attentes à l’égard de l’avocat.

Étudier les compétences pour l’avocat

Pour bien choisir un avocat pour son litige, il est essentiel d’étudier les compétences que l’avocat possède. Son efficacité va en effet dépendre de sa compétence pour régler les litiges juridiques. La compétence tient compte des connaissances, du savoir-faire et de l’expérience acquis par l’avocat. Vous devez alors vérifier les diplômes que l’avocat a effectués pendant ses études supérieures. Un bon avocat doit posséder au moins un master 1 en droit. À cela s’y ajoute le certificat d’aptitude à la profession d’avocat ou CAPA. Pour les avocats spécialisés dans un domaine précis, ils doivent posséder un diplôme supplémentaire qu’est le certificat de spécialisation. Vous devez aussi vérifier les compétences relationnelles de votre avocat. Ici, il est question de voir comment il vous conseille, comment il compte vous représenter et comment il compte vous défendre. Lors de votre premier contact avec votre avocat, vous pourriez immédiatement remarquer s’il est capable de procurer un résultat de qualité à travers son comportement. Le meilleur avocat reste celui qui prend les choses en main pour vous donner et expliquer les démarches à suivre pour réussir.

Faire les comparaisons pour l’avocat

La dernière chose pour bien trouver votre avocat pour un litige est de faire des comparaisons. Ainsi, il est possible de connaitre la réputation qu’un avocat représente aux yeux de ses clients. Bien connue, c’est surement un bon avocat. Pour faire des comparaisons, vous pouvez visiter les forums de discussions spécialement conçus pour ce faire. Dans ces plateformes, il est possible de trouver les avis tant positifs que négatifs sur les avocats. Ce sont les personnes ayant déjà eu recours aux services de ces derniers qui vont leur attribuer une note.

Comment reconnaître un document juridique ?

Un document juridique peut déjà se traduire par un document qui comporte des éléments de droit qui peuvent être reliés à la justice. Un document juridique peut être utilisé dans de nombreux domaines. Que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Une entreprise utilise souvent un document juridique pour encadrer le bon déroulement de son activité. Mais aussi pour règlementer l’ambiance qui règne au sein de l’entreprise.

Définition du document juridique

Un document juridique comme celui que propose le site Qiiro est un acte juridique. Il démontre la manifestation d’une volonté et l’intention d’une ou de plusieurs personnes à mettre en place des effets de droit.

C’est-à-dire que le document juridique est utilisé pour qu’un geste ou un acte puisse avoir des conséquences juridiques. C’est souvent le cas dans une création ou une transmission d’entreprise. C’est aussi le cas pour l’extinction ou la modification d’une obligation ou d’un droit.

Un document juridique est principalement constitué de contrat. Mais il peut également y avoir d’autres formes de document juridique comme le testament, la délégation de pouvoir, les conventions…

Classification du document juridique

Différents critères entrent en compte dans la classification d’un document juridique. Il y a l’importance de l’acte. Tel l’acte de disposition qui apporte un changement important dans la composition d’un patrimoine qui peut ou non requérir l’unanimité des parties présentes.

Il y a aussi l’acte administratif qui est un document courant et qui demande la majorité des parties. L’acte conservatoire dans le but de sauvegarder un état ou un droit fait partie des différentes classifications des documents juridiques.

Puis, il y a la classification des documents juridiques qui se font suivant le souscripteur de l’acte. Il y a le contrat issu du droit privé, les actes législatifs (ordonnances, lois…), les actes juridictionnels (issu d’une procédure judiciaire) et les actes administratifs.

Les actes de gouvernement font également partie des documents administratifs. Enfin, il y a les parties impliquées par le document qui contribue à différencier chaque acte. Vous avez l’acte plurilatéral et l’acte bilatéral dans le type convention ou contrat. L’acte unilatéral comme le testament ou la reconnaissance de dette sont considérés comme des actes unilatéraux.

Les conditions de validités des documents juridiques

Il y a plusieurs conditions à prendre en compte pour qu’un acte juridique soit valable. Il y a le consentement de chaque partie qui doit se faire sans la moindre trace de violence (psychologique et physique). Il y a également la capacité ou le droit d’exercer.

Cette aptitude est déclarée par l’article 1123 du Code civil. Il indique que chaque personne a le droit de contracter tant qu’elle n’est pas déclarée incapable. Sont considérés comme incapables sur le plan juridique les mineurs et les personnes sous tutelles.

Ensuite, il y a l’objet sur lequel se porte le document administratif. Il doit être licite, autrement le caractère juridique du document est obsolète. Cette notion d’objet est suivie de près par la cause du document.

Il existe deux sortes de causes. Il y a celle qui est subjective et celle qui est objective. La partie subjective est destinée à vérifier la solvabilité et la véracité et la légalité des motifs de chaque partie concernée par le contrat ou le document juridique. D’autres conditions comme la forme du document viennent compléter le tout.